Début du contenu principal.
En collaboration avec l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, une nouvelle maîtrise a pour but de pourvoir les postes vacants en enseignement dans les écoles québécoises.
L'Université TÉLUQ accueillera sa première cohorte d'étudiants à la maîtrise qualifiante en éducation préscolaire et enseignement primaire à l'hiver 2023: pourvoir les postes vacants en enseignement dans les écoles québécoises, à l'heure où les effets de la pénurie se font sentir.
Ce programme contingenté s'adresse aux personnes qui ont un baccalauréat et un lien d'emploi actif avec un Centre de services scolaire, mais qui n'ont pas leur brevet pour enseigner au Québec.
«L'ouverture de la maîtrise qualifiante à l'automne 2022 a suscité un vif intérêt dans le milieu de l'éducation. Nous avons toutefois constaté que l'exigence de fournir la preuve d'un contrat d'enseignement pour l'année scolaire en cours dès la rentrée est venue limiter le nombre d'admissions. C'est la raison pour laquelle nous procédons à l'ouverture d'une seconde cohorte à l'hiver 2023», ont souligné les professeurs responsables de cette maîtrise, Marie-Hélène Hébert et Mario Richard.
Les personnes intéressées peuvent déposer leur candidature sur le site d'ici le 13 novembre 2022.
Bien que les ministres de l'Éducation se succèdent depuis des années, des enseignants en région estiment qu'aucun d'entre eux n'a réussi à améliorer le système.
On allait savoir le 20 octobre 2022 si le ministre sortant Jean-François Roberge allait garder sa place à la barre du ministère de l'Éducation du nouveau gouvernement de François Legault.
«Faut arrêter de faire des promesses, de dire des choses qui n'arriveront jamais ou qui n'arrivent pas», a souligné Sylvain Dancause, enseignant au secondaire dans la région de Québec, mercredi en entrevue avec Noovo Info.