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Il s’agit d’une réalisation majeure. Ultimement, ce rapport démontre la destruction des habitats naturels des animaux sauvages sur la planète.
La journaliste Anaïs Elboujdaini était de passage au bulletin Noovo Le Fil Week-end pour en discuter avec l’animateur Meeker Guerrier.
Les animaux sauvages les plus touchés sont ceux vivant dans les habitats d’eau douce, notamment plusieurs espèces de poissons et de reptiles, qui ont été réduites de près de 83%, depuis 1970.
D’un point de vue géographique, c’est en Amérique du Sud et dans les Caraïbes qu’on observe le plus grand déclin d’espèces, à près de 90%.
D’autres organisations ont également sonné l’alarme cette semaine concernant la disparition d’espaces habitables pour les humains en raison des vagues de chaleur.
Les Nations unies ont publié un rapport, lundi, indiquant qu’«au cours des prochaines décennies, une large partie du globe va devenir inhabitable en raison du réchauffement climatique et de la succession des canicules».
Ces vagues de chaleur vont d’abord toucher plus violemment les populations les plus vulnérables des pays en développement. Par exemple, ces vagues devraient augmenter de 700% en Afrique de l’Ouest et en Asie du Sud-Est, d’ici 2050.
Afin d’inverser la tendance, la coopération internationale est requise. D’ailleurs, Montréal recevra la Conférence des Nations unies sur la biodiversité (COP15), du 7 au 19 décembre 2022.
«Les dirigeants mondiaux auront une occasion unique d’opter pour une approche visant un bilan nature positif […] La rencontre sera cruciale pour fixer des objectifs suffisamment ambitieux et clairement mesurables au sein d l’accord», a déclaré le WWF dans son rapport.
Voyez l’entretien intégral dans la vidéo.