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«On est parmi les rares à avoir atteint les objectifs précédents au niveau de la protection du territoire. Ce leadership, on continue de l’assumer», a-t-il déclaré sur les ondes de Noovo Info lors du bulletin Noovo Le Fil 17 animé par Marie-Christine Bergeron.
DOSSIER | COP15
Il a toutefois affirmé que si les États fédérés avaient un rôle à jouer dans la protection de la biodiversité, les pays signataires avaient également «une grande responsabilité pour la suite des choses».
Questionné au sujet de la préservation de la rivière Magpie, qui pourrait être affectée par la construction d’un éventuel barrage, M. Charrette a souligné que le Québec ne s’était pas présenté à la COP15 avec la volonté de proposer des projets spécifiques, mais plutôt des objectifs.
Le ministre de l’Environnement est aussi revenu sur le futur projet de loi devant assurer une plus grande transparence et un accès aux données portant sur les prélèvements d’eau par les entreprises d’embouteillage au Québec.
«Actuellement, les grands utilisateurs d’eau prélèvent et utilisent des milliards de litres d’eau année après année, et ce sont des données qui ne sont pas publiques, alors que la denrée elle-même est un produit de propriété publique qui appartient à l’ensemble des Québécois», a-t-il souligné.
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M. Charrette a ajouté qu’il souhaitait déposer le projet de loi d’ici au mois de février et qu’il espérait qu’il soit adopté d’ici au mois de juin.
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