Quelques semaines plus tard, l’application semble toutefois difficile à utiliser et devenir chauffeur Uber semble être tout autant compliqué.
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Notre journaliste Rébecca Pépin a justement rencontré un homme de la région qui souhaite offrir ses services, mais qui s'est vite rendu compte que ça ne serait pas si simple.
Si Georges Juteau, 73 ans, a passé toutes les certifications et rempli toutes les autorisations nécessaires, il n'est toujours pas en mesure d'être chauffeur Uber.
«Ils m'ont demandé un paquet d'affaires. Premièrement, il me fallait mon permis de taxi, pour lequel j'ai passé le test. Ils m'ont demandé mes antécédents judiciaires, que j'ai fait sortir à Trois-Rivières. Ils m'ont demandé mes taxes fédérales et provinciales. Ça ne finissait plus», déplore-t-il.
M. Juteau a aussi eu à faire inspecter sa voiture, dépensant ce faisant 150 $.
Visionnez l'entrevue intégrale dans la vidéo ci-contre.
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