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L'organisme tente maintenant de remédier au problème. Il a lancé un guide pour aider les enseignants à aborder ces sujets délicats avec leurs élèves.
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«On m’a dit: “Est-ce que vous savez que les étudiants finissent leur secondaire 5 sans connaitre ce que veut dire le mot génocide?” J’étais choquée», a lancé Heidi Berger, présidente de la Fondation pour l’étude des génocides, mercredi.
«À cette période, j’ai commencé la fondation et j’ai parlé avec le ministère de l’Éducation.»
Voyez le reportage d’Amélie St-Yves et d’Amélie Paquette dans la vidéo qui accompagne ce texte.
Crédit photo: Fondation pour l'étude des génocides