En parallèle, le maire de Québec, Bruno Marchand, a soutenu que le qualificatif de «climat toxique» était «exagéré».
Toutefois, Mme Despins maintient toujours sa position.
«Je trouve ça dommage de la part du maire de Québec, qu’il utilise ces termes-là», a-t-elle lancé en entrevue avec Noovo Info.
Dans sa plainte, Mme Despins affirmait que le chef du cabinet du maire, Clément Laberge, n’a pas rempli son devoir d’assurer le sentiment de sécurité des élus à l’hôtel de ville.
M. Laberge aurait reçu plusieurs signalements d’événements violents, agressifs et d’intimidation dans les corridors de l’hôtel de ville et pendant les séances du conseil municipal depuis deux ans. Ce dernier n’aurait donc rien fait pour tenter d’améliorer la situation, a-t-elle dénoncé.
«Mes propos restent les mêmes. C’est des situations que j’ai vécues», affirme Mme Despins.
Elle estime tout de même que la fermeture du dossier par la Commission n’est pas un échec. Rappelons qu’à la suite de ces événements, les élus de Québec ont suivi une formation sur le respect. La conseillère espère que cette formation devienne annuelle et obligatoire.
Voyez l’entrevue complète dans la vidéo.