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Comme exemple des hausses de coûts imposées, l'agence DBRS Morningstar a évoqué le cas de l'aéroport international Pearson de Toronto, qui a augmenté ses frais d'améliorations aéroportuaires de 5 $ pour les porter à 35 $ pour les passagers au départ.
Les voyageurs canadiens sont confrontés à une augmentation des frais d'aéroport après que la pandémie a plombé leurs revenus et entraîné une hausse de l'endettement des aéroports à travers le pays.
Selon l'agence de notation du crédit DBRS Morningstar, la COVID-19 a perturbé le modèle d'affaires «relativement stable» et résilient du secteur aéroportuaire.
L'analyse de l'agence montre que si les compagnies aériennes ont reçu d'importantes mesures d'aide financière au plus fort de la pandémie, les autorités aéroportuaires n'ont bénéficié que d'un soutien «modeste».
Cela explique notamment pourquoi les aéroports canadiens ont contracté une dette supplémentaire combinée d'environ 3,2 milliards $.
En outre, les coûts d'exploitation et les dépenses en immobilisations augmentent également en raison de l'inflation, a ajouté DBRS.
Comme exemple des hausses de coûts imposées, l'agence a évoqué le cas de l'aéroport international Pearson de Toronto, qui a augmenté ses frais d'améliorations aéroportuaires de 5 $ pour les porter à 35 $ pour les passagers au départ, tandis que ceux des passagers en correspondance sont passés de 3 $ à 7 $ pendant la pandémie.
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