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Politique

Le candidat du PLQ Harley Lounsbury peut poursuivre sa campagne

Le candidat du Parti libéral du Québec (PLQ), Harley Lounsbury, peut poursuivre sa campagne électorale dans la circonscription de Matane-Matapédia.

Le candidat du Parti libéral du Québec (PLQ), Harley Lounsbury, peut poursuivre sa campagne électorale dans la circonscription de Matane-Matapédia.
Le candidat du Parti libéral du Québec (PLQ), Harley Lounsbury, peut poursuivre sa campagne électorale dans la circonscription de Matane-Matapédia.
Ugo Giguère

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Noovo Info

La Cour supérieure a donné raison au candidat du Parti libéral du Québec (PLQ), Harley Lounsbury, lui permettant ainsi de poursuivre sa campagne électorale dans la circonscription de Matane-Matapédia.

C'est ce qu'a annoncé le parti sur Twitter, mercredi soir. 

La Cour supérieure ordonne au Directeur général des élections de confirmer la candidature dans la circonscription de Matane-Matapédia.

La décision du juge Clément Samson est tombée mercredi soir. On peut y lire que le tribunal «ordonne au Directeur du scrutin de la circonscription de Matane-Matapédia de délivrer un avis de conformité de la candidature» de M. Lounsbury.

De plus, la cheffe libérale Dominique Anglade a rapidement réagi et a confirmé que son parti propose une équipe complète avec un total 125 candidatures «conformes» qui ont été déposées, en vue des élections provinciales en octobre prochain.

On apprend dans la brève décision de 14 pages que la raison invoquée par le directeur du scrutin de la circonscription Jeannot Michaud pour rejeter la candidature libérale repose sur l'absence de signature et d'initiales dans deux encadrés bien précis des documents officiels.

«Chacun des trois formulaires ''Désignation du ou des mandataires et serment des personnes ayant recueilli les signatures d'appui'' n'aurait pas été complété aux endroits prévus», peut-on lire.

Devant cette justification de refus, le PLQ et son candidat ont plaidé que «la nécessité, pour un mandataire qui recrute des électeurs [...] d'apposer deux fois sa signature et, en plus, ses initiales, n'est pas prévue à la Loi». Ils ont ajouté que le rejet d'une candidature pour cette simple raison était «déraisonnable» par rapport aux droits constitutionnels de M. Lounsbury.

Le juge Samson s'est rangé derrière les plaignants et a déterminé que le rejet de la candidature de M. Lounsbury «au motif que ses trois mandataires avaient omis de signer la déclaration de candidature est déraisonnable».

Avec les informations de la Presse canadienne

Ugo Giguère

Source

Noovo Info