Début du contenu principal.
Germain Lemay, accusé d’avoir menacé les premiers ministres Justin Trudeau et François Legault sur le réseau social TikTok, pourrait bien reconnaître sa culpabilité pour la majorité des gestes qui lui sont reprochés.
Germain Lemay, accusé d’avoir menacé les premiers ministres Justin Trudeau et François Legault sur le réseau social TikTok, pourrait bien reconnaître sa culpabilité pour la majorité des gestes qui lui sont reprochés.
Le résident de Hampden, en Estrie, conteste toutefois vigoureusement le chef de braquage d’une arme à feu, ce qui pourrait mener à un procès.
La Couronne et la défense, représentées respectivement par Me Geneviève Crépeau et par Me Didier Pietropaolo, ont offert une mise à jour du dossier, mercredi matin, devant le juge Conrad Chapdelaine.
Voyez le reportage de Guillaume Cotnoir-Lacroix dans la vidéo liée à l'article.
Me Pietropaolo a indiqué au juge que son client était prêt à fixer un procès pour un chef d’accusation, soit celui d’avoir braqué une arme à feu, en plus d’indiquer que des admissions étaient envisagées pour les six autres chefs d’accusation, dont les quatre de menaces. Lemay n’a toutefois enregistré aucun plaidoyer de culpabilité, mercredi matin.
Pour la Couronne, Me Crépeau a indiqué qu’un éventuel procès sur le chef de braquage d’une arme à feu ne nécessiterait pas plus d’une journée. Trois policiers pourraient notamment devoir témoigner. D’éventuelles admissions « raccourciraient définitivement la longueur du procès », selon la procureure.
Les deux parties seront de retour en cour le 12 janvier prochain pour fixer une date de procès. Les deux avocats impliqués dans le dossier ont préféré ne pas commenter les procédures, à ce stade-ci.