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Beaucoup de vacanciers veulent profitez des différents plans d’eau et c’est pourquoi la Société de Sauvetage du Québec est en mode prévention.
«Savoir nager, c'est au moins minimalement 25 mètres dans lequel, je vais ajouter des vagues. Parce que les victimes sont toujours à plus ou moins 25 mètres d'un endroit où ils auraient pu s'accrocher», explique le directeur général de la Société de sauvetage du Québec, Raynald Hawkins.
Les cas de noyade ne sont pas strictement reliés à la baignade, mais aussi à l'utilisation d'embarcations, notamment, qu'elles soient motorisées ou non. Et dans ces cas-ci, la veste de flottaison peut parfois faire toute la différence.
«Juste pour le Québec, on parle de 20 décès liés à l'eau par année parce qu'ils ne portaient pas ou ne portaient pas correctement leur veste de flottaison», indique M. Hawkins. «C’est ce qui va faire la différence entre l'anecdote et le drame à faire imposer à tout le monde.»
L'année dernière, pour la région de l'Estrie, seulement une noyade avait été répertoriée en date du 22 juillet. Mais cette année, à pareille date, il y en a cinq. C'est la même chose pour la Mauricie, tandis que l’on constate une légère amélioration pour la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Il faut savoir également que l'alcool est parfois une des sources des accidents sur les plans d'eau.
«30 % des noyades dans une année sont attribuables au moins en partie, à la consommation d'alcool. La déshydratation, le vent, le soleil fait en sorte qu'une consommation d'alcool nous porte l'effet de trois consommations d'alcool, alors, et on s'en rend plus ou moins compte», relève la directrice d’Éduc’Alcool, Geneviève Desautels.
Pour le reportage intégral, voyez la vidéo.