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Il y aura dorénavant 10 plongeurs, ce qui représente un investissement de 5,3 millions de dollars sur cinq ans.
«On veut optimiser notre délai de réponse, la qualité de notre réponse et également s'améliorer au niveau de la formation», a expliqué le lieutenant au service des mesures d’urgence de la SQ, Jean-François Fortier, sur les ondes de Noovo Info.
Celui-ci souligne d’ailleurs la difficulté pour la SQ de recruter des plongeurs.
M. Fortier insiste d’ailleurs sur le caractère très émotif du métier de policier plongeur, alors que leur travail permet notamment aux familles des victimes de faire leur deuil. En effet, il rappelle que les agents sont davantage en mode «récupération» qu’en mode «sauvetage».
«C’est un travail d’enquête. Ça peut être technique. Il y a des paramètres à suivre. Les durées de plongée, c'est physiquement difficile», a précisé le lieutenant.
Pour l’entrevue intégrale, voyez la vidéo.