Christine Bergeron, qui a contracté la forme longue de la maladie, a l'impression d'être prisonnière de son corps depuis presque trois ans.
Alice Trahan l'a rencontrée. Voyez son reportage dans la vidéo liée à l’article.
«J’ai attrapé la COVID le 26 janvier 2021. Depuis ce temps-là, ma vie a basculé. J’étais active, je faisais plein d’activités, de la moto, je faisais du plein air», raconte Mme Bergeron.
Aujourd’hui, son niveau de vie n’est plus du tout comparable. Une simple marche de cinq minutes l’épuise, dorénavant.
«Tu as l’impression de traîner un boulet. C’est très lourd. Que tu aies dormi sept, huit, neuf ou 10 heures, c’est comme si tu avais dormi une heure.»
En plus de ressentir continuellement une grande fatigue, Christine Bergeron doit aussi composer avec l’essoufflement incessant. «Tout m’essouffle, le tout provoque de la toux, beaucoup d’étourdissements, des douleurs articulaires», énumère-t-elle. Même sa mémoire est aujourd’hui affectée.
Mme Bergeron place maintenant ses espoirs dans la découverte d’un médicament pour traiter sa condition ou à tout le moins améliorer sa condition de vie.
Pour le reportage intégral, visionnez la vidéo.