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Les deux cofondatrices du festival, Anne-Julie St-Laurent et Myriam Sophie Deslauriers étaient de passage au bulletin Noovo Le Fil Week-end animé par Meeker Guerrier afin de discuter de la quatrième édition de l’événement.
Questionnées à savoir comment elles sont parvenues à attirer d’aussi gros noms sur une période de trois jours à Carleton-sur-Mer, les organisatrices de BleuBleu soulignent qu’elles développent le festival depuis quatre ans.
«On a aussi la chance d’être dans un lieu qui est vraiment incroyable, souligne Myriam Sophie Deslauriers. C’est une ville [pour laquelle] on a besoin de tordre le bras à personne pour venir y jouer. On a la mer, les montagnes. C’est comme ça entre autres, je pense, qu’on vient chercher nos artistes.»
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À l’instar de nombre de festivals et d’événements culturels, le festival BleuBleu s’est vu imposer une pause en raison de la pandémie. Du positif peut toutefois être retiré de ce hiatus.
«Ça nous a donné l’occasion de bâtir à l’interne une bonne équipe et d’être structurés comme organisation, estime Anne-Julie St-Laurent. Cette année, c’est la première année où on rouvre les portes à tout le monde. On est prêts à avoir plus de gens sur place et à les accueillir de la façon la plus adéquate possible.»
Contrairement à plusieurs festivals québécois d’envergure, BleuBleu se déroule à bonne distance des grands centres. «On fait quelque chose à la base avec des partenaires locaux, pour la population locale, explique Mme Saint-Laurent. Mais c’est sûr que dans notre promotion et dans les artistes qu’on programme, il y a des choses qui sont adressées au public de l’extérieur de la Gaspésie.»
Les organisatrices tiennent toutefois à s’assurer que suffisamment de place soit réservée à la population locale.
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