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Ce qui change cette année, c’est que les aspects qui influencent la santé mentale deviennent des facteurs de risque important dans la santé et la sécurité au travail. «Depuis 35 ans, on a fait un bon extraordinaire puisqu’aujourd’hui les lésions psychologiques sont intégrées dans la définition de la légion professionnelle» souligne Cheikh Faye, professeur agrégé en santé et sécurité au travail à l’Université du Québec à Chicoutimi.
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Toute la semaine, la Confédération des syndicats nationaux (CSN) a visité différents lieux de travail pour réitérer l’importance d’intégrer des mécanismes de prévention dans les conventions collectives.
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