Début du contenu principal.
Étant donné que je porte son nom, je me suis toujours intéressée à l'oeuvre de mon grand-oncle, le frère de mon grand-père, et à ce qu'il a fait pour le Québec.
Quand le projet de loi 96 a commencé à prendre forme l'an dernier, une sorte de réforme de la Charte de la langue française, je me suis replongée dans son oeuvre - après tout, Camille Laurin est connu pour être «le père de la loi 101». Et je me suis rendue compte que je ne savais pratiquement rien de lui.
À lire également : Loi 101: de la controverse dans d'autres secteurs
J'avais 11 ans quand il est mort, et je ne l'ai vu que quelques fois, dans des partys de famille.
J'ai voulu comprendre qui était cet homme, et ce qu'il nous laisse, 23 ans après sa mort.