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«C’est inquiétant pour la suite, dans la mesure où on a l’impression que c’est un film qui ne finit plus», a relevé l’analyste politique l’ex-ministre libéral Sébastien Proulx au bulletin Noovo Le Fil 17 animé par Marie-Christine Bergeron.
On ne sait plus comment décrire ce qui se passe au Parti libéral du Québec.
Alors que Marie-Claude Nichols semblait sur le point de retourner au sein du caucus libéral lundi soir, ce qui était considéré comme une entente entre le chef par intérim et la députée de Vaudreuil a finalement échoué.
«C’est inquiétant pour la suite, dans la mesure où on a l’impression que c’est un film qui ne finit plus», a relevé l’analyste politique l’ex-ministre libéral, Sébastien Proulx, au bulletin Noovo Le Fil 17 animé par Marie-Christine Bergeron.
La position de troisième vice-président à l’Assemblée nationale est au cœur de la saga libérale en ce moment. Pourtant, on en avait très peu entendu parler auparavant. Que représente-t-elle?
Il y a une présidence à l’Assemblée nationale, qui est accompagnée de deux vice-présidences. Traditionnellement, la présidence échoue au groupe qui forme le gouvernement, comme les deux premières vice-présidences. Souvent, la troisième vice-présidence est occupée par un membre de l’opposition officielle.
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«Ce que ça veut dire être troisième vice-président, c’est qu’on s’éloigne de la joute partisane, donc on n’est pas dans les débats et on sert l’institution lorsqu’on a besoin de nous», a expliqué M. Proulx. «Ça vient bien sûr avec une allocation financière supplémentaire, mais ça nous éloigne de la joute parlementaire.»
L’analyste trouve d’ailleurs «désolant» que l’enjeu de cette position ait pris de telles proportions, au point d’influencer le choix de quitter une formation politique.
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