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Le nombre de signalements à la DPJ a atteint un sommet historique en 2023-2024 à Montréal.
Le nombre de signalements à la protection de la jeunesse a atteint un sommet historique en 2023-2024 à Montréal, selon des données obtenues en exclusivité par Noovo Info.
Face à ces chiffres, le collaborateur de Noovo Info Luc Ferrandez se demande si on ne fait parfois pas des signalements trop rapidement à la DPJ.
Ce texte a été rédigé par l’équipe du pupitre numérique de Noovo Info.
«Un signalement qui dit qu’un enfant fait de l’anxiété ou qu’il a des problèmes, ce n’est pas grave [de le faire], mais ce n’est pas obligé de se rendre à la DPJ», soulève-t-il. Sans minimiser la gravité de ces problèmes, M. Ferrandez croit qu’il n’est pas nécessaire de se tourner trop rapidement vers la DPJ.
En guise de comparaison, le collaborateur de Noovo Info se réfère aux problèmes de santé en général. «Il ne faut pas tout envoyer au médecin. Les physios, les infirmières spécialisées, il faut que tout le monde puisse répondre», illustre-t-il.
Selon Luc Ferrandez, les intervenants de la DPJ ont également à composer avec trop de paperasse.
Pour l’intervention intégrale de Luc Ferrandez, voyez la vidéo.