Elles veulent entre autre faire découvrir les variétés de la région qui se cultivent uniquement au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Pour rester fidèle à leurs valeurs, elles n’utilisent aucun intrant chimique pour accélérer la croissance des plants.
«On va s’inspirer du mouvement slow flowers qui a pour but de cultiver des fleurs, mais en respectant leur cycle naturel de croissance», explique la copropriétaire Aux Fleurs Ensorcelées, Fanny Hallot.
Les jeunes femmes voulaient retourner à la terre, mais l’accessibilité aux terres agricoles n’est pas toujours facile donc elles ont trouvé un petit lot de terre en location qu’elles cultivent depuis quelques mois.
Voyez le reportage de Marc-Antoine Mailloux dans la vidéo.