L’adolescent de 14 ans fréquente une école secondaire du Centre de services scolaire des Navigateurs, en Chaudière-Appalaches.
Ultimement, le juge a décidé que les inconvénients du jeune accusé sont plus importants pour lui que ceux des victimes présumées. L’école plaidait pour le retrait de l’élève, alors que la Protectrice régionale de l’élève recommandait sa réintégration.
Il s’agit d’une décision «déroutante» pour la porte-parole du Regroupement québécois des centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS), Justine Chénier.
«Ça vient créer un précédent qui est quand même particulier», a soutenu Mme Chénier.
Ce genre de scénario est un exemple des raisons pour lesquelles le RQCALACS tente d’apostropher le gouvernement à mettre en place une loi-cadre contre les violences à caractère sexuel dans les milieux scolaires.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.