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Un médecin demande une libération sous caution pour des accusations d'agressions sexuelles
Probst était déjà en liberté sous caution lorsqu'il a été arrêté à nouveau la semaine dernière.
L'ancien chef du département de médecine nucléaire de l'Hôpital général juif de Montréal était de retour au tribunal jeudi pour des audiences de libération sous caution après une deuxième arrestation.
Ce texte est une traduction d’un article de CTV News.
Stephan Probst est accusé d'avoir agressé sexuellement sept femmes sur une période de 18 ans. De nombreux détails de l'affaire sont sous le coup d'une interdiction de publication.
Le procureur a présenté les nouveaux éléments de preuve contre l'ancien médecin afin de convaincre le juge de ne pas libérer Probst dans l'attente de son procès. Des membres de l'entourage de Probst se sont rendus au tribunal pour aider la défense à plaider en faveur de sa libération.
Probst était déjà en liberté sous caution lorsqu'il a été arrêté à nouveau la semaine dernière, ce qui complique l'affaire.
En août dernier, lui et sa petite amie ont été reconnus coupables d'avoir drogué et abusé sexuellement d'une femme que le couple avait rencontrée en ligne.
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Probst avait convaincu le tribunal de le libérer sous caution en attendant sa condamnation et le dépôt de son appel.
Après que la condamnation de Probst a fait la une des journaux, d'autres femmes se sont manifestées avec des histoires d'abus similaires, ce qui a conduit à sa nouvelle arrestation.
Le parquet veut non seulement faire révoquer la précédente libération sous caution de Probst, mais aussi s'assurer qu'il reste derrière les barreaux jusqu'au procès.
L'affaire reprendra vendredi devant le tribunal.
