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Pendant la campagne électorale, Bruno Marchand compte se tenir en retrait, mais va défendre ses projets.
Pendant la campagne électorale, le maire de Québec Bruno Marchand compte se tenir en retrait, mais va défendre ses projets.
«On ne sera pas absents. On va être là pour rétablir les faits, on va être là pour se tenir debout.»
Dans le dossier du tramway, la contestation judiciaire du groupe Québec mérite mieux risque de mettre des bâtons dans les roues de l’administration.
«Ça coûte des sous au citoyen, ça coûte du temps et on perd des opportunités.»
En ce qui concerne le 3e lien, le maire demande toujours à être convaincu, même si le gouvernement Legault martèle que le projet est essentiel économiquement pour la région de Québec. Et Bruno Marchand ne pense pas être seul à voir les choses de cette manière.
«J’ai l’impression qu’on est 2-3 à avoir cette idée qu’on a besoin de preuves, d’une démonstration, et on est quand même des citoyens de Québec.»
Alors que la fréquentation de Lauberivière a explosé de 80 % cet été, le maire Marchand planche sur l’itinérance zéro.
«On a des histoires à succès, il y a des villes dans le monde qui réussissent à freiner l’itinérance chronique, et Québec va être de celles-là, je vous le promets.»
Enfin, la collecte des ordures a connu des ratés cet été au centre-ville
À VOIR | «Ça sent»: qu'est-ce qui se passe avec la collecte des ordures à Québec?
Le maire assure qu’il suit la situation de près. «Le problème qu’on a c’est qu’on a affaire avec des contractants à qui on a imposé des pénalités. Ce que ces contractants-là nous disent, c’est que c’est une question de pénurie de main-d’œuvre. On a espoir que la situation se règle, sinon on va prendre action.»
Voyez le reportage de Jean-Simon Bui dans la vidéo.