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La CNESST indique que le port d'un masque de qualité continuera toutefois d'être requis dans les aires de circulation.
Le port du masque en tout temps au travail ne sera finalement plus obligatoire à compter du 28 février, si la distance de 2 mètres est maintenue ou s’il y a une barrière physique entre les personnes.
La Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail en a fait l'annonce mercredi matin.
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C’est d’ailleurs à compter de cette date, lundi prochain, que le télétravail ne sera plus obligatoire au Québec. Les autorités parlent d’un retour alors possible en mode hybride.
La CNESST indique que le port d’un masque de qualité continuera toutefois d’être requis dans les aires de circulation au travail.
Dans les cafétérias, les salles à manger et les salles de repos au travail, la distanciation et les barrières physiques ne sont pas requises durant la consommation de nourriture. Le port d’un masque de qualité sera toutefois requis lorsqu’il n’y a pas de consommation de nourriture.
Interrogée à savoir qui devrait fournir ces masques aux travailleurs, la CNESST n’avait toujours pas répondu à la question, au moment d’écrire ces lignes.
Interrogé à ce sujet, le Conseil du patronat du Québec a fait savoir que ce sont les employeurs qui sont responsables de fournir des masques aux travailleurs et il doit s’agir de masques de procédure ou de N95, par exemple.
L’information était d’ailleurs la même du côté syndical: des masques de qualité, certifiés, et non de simples masques en tissu.
La CNESST a aussi fait savoir que le port du masque continuera d’être requis dans les transports en commun.
La Commission ajoute que la désinfection des surfaces comme les salles de toilette et leur nettoyage continueront d’être obligatoires en tout temps, de même que l’hygiène des mains.
Aussi, les surfaces qui sont «hautement touchées» durant le travail devront être nettoyées à chaque quart de travail.
De même, les personnes présentant des symptômes apparentés à la COVID-19 devront être exclues.