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Évidemment, la négociation de six syndicats avec le gouvernement et l’entente de principe à voter est une priorité. Ça représente 2500 travailleurs en Abitibi-Témiscamingue.
Le syndicat CSN aura une année 2024 pleine de défis.
Évidemment, la négociation de six syndicats avec le gouvernement et l’entente de principe à voter est une priorité. Ça représente 2500 travailleurs en Abitibi-Témiscamingue.
23 autres syndicats pour 1650 membres sont ou seront aussi en négociations d’un contrat de travail. Ça touche entre autres des CPE et des paramédicaux.
La CSN régionale n’est pas impressionnée par le début du deuxième mandat de la Coalition avenir Québec (CAQ).
L’absence d’un ministre en région ne passe toujours pas, tout comme ce que le président de la CSN Abitibi-Témiscamingue, Félix-Antoine Lafleur, qualifie de «centralisation des pouvoirs dans l’ensemble des réformes.»
«Ça ne va pas si mal que ça, mais on ne peut pas non plus se cacher et dire que tout va bien. La négociation du secteur public, dans la dernière année, a démontré que si on veut vraiment pouvoir faire progresser notre société, il y a des luttes à faire. Malheureusement, ce gouvernement-là n’a pas entendu raison en se rendant à nos arguments, il a fallu qu’on sorte dans la rue», fait-il savoir
Dans notre région, la CSN fêtera ses 60 ans en juin.
La CSN représente 6000 membres dans 50 syndicats.