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«En un tournoi, les joueuses auront ce qu’elles reçoivent en moyenne annuellement», a expliqué l'analyse de soccer pour RDS, Patrice Bernier en entrevue au bulletin Noovo Le Fil 17.
La neuvième Coupe du monde de soccer féminin, qui se déroulera du 20 juillet au 20 août 2023 en Australie et en Nouvelle-Zélande a deux particularités. En plus de se disputer dans deux pays, «il y aura une cagnotte, un bonus de 30 000$ pour chaque joueuse en général», rappelle Patrice Bernier.
«La FIFA injecte de l’argent pour les joueuses. Ça serait une première», a commenté l'analyste soccer de RDS et ancien capitaine du CF Montréal (appelé l'Impact à l'époque), mardi dans un entretien au bulletin Noovo Le Fil 17 sur les ondes de Noovo Info.
«La moyenne de salaire d’une joueuse de soccer professionnelle est située entre 30 000$ et 40 000$. En un tournoi, les joueuses auront ce qu’elles reçoivent en moyenne annuellement», calcule-t-il.
Le Canada amorcera son parcours le 20 juillet à 22h en affrontant le Nigéria. Les joueuses affronteront aussi l'Irlande (26 juillet) et l'Australie (30 juillet).
«En 2019, elles n’ont pas passé le premier tour. [...] On va s’attendre à ce qu’elles sortent de leur groupe qui n’est pas facile. Elles ont l’Australie, pays hôte qui est classé sixièm au monde, le Nigéria qui est considéré comme une force du continent africain et il y a la République d'Irlande. Ça ne sera pas évident, mais on s’attend à ce qu’elles soient dans les deux premières de leur groupe et qu’elles passent avec l’Australie», prédit Patrice Bernier.
Voyez son analyse complète au bulletin Noovo Le Fil 17 dans la vidéo qui accompagne ce texte.
Avec les informations de RDS. Contenu rédigé par Audrey Bonaque pour Noovo Info.