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Avec l'aide de deux autres hommes, ils ont pris quatre heures pour remonter ce spécimen qui contribuera aux recherches scientifiques.
«J'ai l'impression d'avoir fait un combat de lutte. Ce matin, j'ai mal à mon bras et dans les jambes», a raconté M. Aubin. «Ça a été un combat vraiment très difficile, car c'est un poisson très fort. [...] Ça prend du temps pour l'épuiser.»
Lorsqu'il y a une grosse prise comme celle-ci, il y a un engouement auprès de la population.
«C'est un gros poisson. Évidemment, les gens veulent pêcher le record. Semble-t-il que c'est une pêche particulière et unique», a mentionné Myriam Coulombe, biologiste au musée du Fjord.
«On a eu de la misère à se stationner tellement il y avait du monde au musée du Fjord», a précisé M. Aubin.
Voyez le reportage de Johanie Bilodeau dans la vidéo.