«Dernièrement, on a vu beaucoup d’appels d’offres où on choisissait des lampadaires en acier fabriqués en Chine, alors qu’on a des fabricants de lampadaires d’aluminium au Québec», explique François Racine, président-directeur général d’AluQuébec, en ajoutant que les fabricants québécois vendent des lampadaires à des prix comparables, qui sont «beaucoup plus esthétiques» et qui ont une durée de vie beaucoup plus longue.
Il demande donc aux décideurs publics de mettre leur poing sur la table et de prioriser les achats d’ici, qui génèrent des retombées locales.
«Notre aluminium est une richesse pour le Québec, il serait à tous de moins normal que les villes et les gouvernements favorisent ces produits-là», souligne Richard Bélanger, porte-parole d’ALU MC3.
Notons que 80% des lampadaires et des structures de signalisation qui se retrouvent sur nos routes sont fabriqués à Sainte-Julie, au Québec.
Voyez le reportage de Marika Simard dans la vidéo.
