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M. Morot était de passage au bulletin Noovo Le Fil 17 animé par Marie-Christine Bergeron afin de revenir sur cet événement marquant.
«[Je me suis senti] un peu comme dans Saving Private Ryan, quand il y a une bombe qui explose à côté de Tom Hanks et que tout devient en sourdine», a réagi le Québécois.
Questionné au sujet de ce que pouvait représenter pour lui de recevoir un tel honneur, M. Morot a peiné à trouver ses mots.
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«Je n’ai jamais pensé recevoir un Oscar. Je ne fais pas ça pour les prix, mais je dois avouer qu’hier soir, après qu’on ait reçu le prix, j’étais vraiment ému de me dire que toute la communauté du cinéma international [me reconnaissait] comme étant excellent dans mon domaine», a-t-il reconnu.
Dans The Whale, Brendan Fraser, qui a au passage raflé la statuette récompensant le meilleur acteur, interprète un homme pesant 600 livres. L’acteur a donc eu à être maquillé et à être équipé de prothèses pour refléter cette condition, ce qui a représenté un défi pour Adrien Morot et son équipe.
«Malgré l’importance du maquillage, ce qui était primordial, c’était de conserver sa performance à lui. Tout le film est là, ce n’est pas un film sur le maquillage, c’est un film où il interprète le personnage de Charlie. Je ne devais pas obstruer sa performance à aucun moment, c’était le défi principal», souligne le maquilleur.
Voyez l'entrevue intégrale dans la vidéo.