La Ville de Québec a d’ailleurs traité 645 incidents liés aux chiens depuis le début de l’année. Ces données incluent le non-respect de la règlementation municipale, le jappement excessif et les chiens sans laisse ou potentiellement dangereux.
Frédérique Bacon a discuté de la situation avec l’entraîneur pour humain en comportement canin Christophe Corré.
Voyez son reportage dans la vidéo liée à l’article.
«Le jappement reste l’un des comportements le plus envahissants, parce qu’il implique l’environnement au sens large, convient M. Corré. Ensuite, il va y avoir les comportements irresponsables de l’humain.»
L’entraîneur en comportement canin précise que les chiens jappent pour communiquer et qu’il y a un objectif derrière ce geste. Intimer à son animal de se taire peut donc remplir son objectif de communiquer.
Selon M. Corré, aller porter plainte ne doit pas nécessairement être la première solution à envisager en cas de jappement excessif de la part d’un chien du voisinage.
«La première solution, c’est d’aller voir le maître et de demander s’il a déjà pris des mesures et s’il est conscient qu’il émet une certaine gêne, explique-t-il. À partir du moment où il affirme en avoir eu conscience, il faut lui laisser sa chance.»
En effet, «un chien ne va pas changer en un claquement de doigts», soutient M. Corré.
Pour le reportage intégral, visionnez la vidéo liée à l’article.