Les différents organismes qui œuvrent en itinérance se disent prêts à recevoir les personnes dans le besoin.
«On n’a pas de limite de personnes qu’on va accueillir, on a des places limitées en termes de lits, mais on ne laissera pas personne à l’extérieur. L’idée, c’est d’avoir une zone sécuritaire sans heure d’ouverture», a expliqué Jean-Félix Saint-Germain, coordonnateur à la halte-douceur de l’organisme Point de rue.
Karine Dahan, directrice générale du Centre Le Havre, dit pour sa part que son équipe sera beaucoup plus vigilante avec les personnes en situation d’itinérance durant les grands froids. «On va plus se déplacer vers eux», mentionne-t-elle.
Voyez le reportage d’Alice Trahan dans la vidéo.