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«Je lui dirais qu'il y a eu des turbulences, mais malgré tout, on a été productifs», avance M. Nadeau-Dubois.
De son côté, M. Grandmont avoue retirer de la fierté de la dernière session parlementaire. «Je me suis lancé en politique pour changer, améliorer la qualité de vie des gens», lance-t-il.
Questionnés à savoir si les activités de QS peuvent parfois passer au second plan derrière le «GND show», les deux hommes nient d’emblée. «Ce n'est pas ce que je pense. Ce n'est pas ce que je vois au quotidien ici, à l'Assemblée nationale», suggère le principal intéressé.
Etienne Grandmont est du même avis. «C’est un bon joueur d'équipe. C'est un bon capitaine. Je dirais autant dans le sport qu'à l'Assemblée nationale. C'est le fun de jouer, de partager la patinoire avec Gabriel», insiste-t-il.
Gabriel Nadeau-Dubois se montre catégorique sur ses objectifs au sein de QS. «Si je suis à Québec solidaire, c'est parce que je souhaite une gauche qui gagne, qui gagne dans l'opposition et qui gagne aussi éventuellement ces élections pour former un gouvernement», martèle-t-il.
Concernant le départ de Catherine Dorion, en 2022, et celui d’Émilise Lessard-Therrien, en avril dernier, «GND» refuse d’y voir une tendance. «Chaque situation est différente. Je ne veux pas parler ni au nom de Catherine, ni au nom d’Émilise. On a un examen de conscience à faire pour s'assurer qu'on demeure un parti politique où toutes les femmes ont leur place. Quel parti n’a pas du travail à faire?», demande-t-il.
Pour l'entrevue intégrale, voyez la vidéo.