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«C’est à ce moment que je me suis dit: "Oh, ça va nous poser problème"», a raconté le père de famille en entrevue.
Le voyage de rêve d’une famille de Woodstock, en Ontario, s’est rapidement transformé en véritable cauchemar. Cette famille a dû attendre toute la nuit devant un bureau de passeports pour finalement rater son vol.
Ce contenu est une traduction d’un article de CTV News.
Ludwing Perea-Melendez et sa famille avaient récemment organisé un voyage de quelques semaines au Pérou afin de rendre visite à ses parents.
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«Nous devons vraiment nous rendre dans mon pays natal en Amérique du Sud, parce que la santé de mon père s'effrite à vue d’œil et je voudrais qu’il rencontre tous mes enfants», a expliqué le père de famille.
Il ne s’attendait pas à ce qu’une faute d’orthographe sur leur réservation ruine leur voyage.
Alors que la famille était en train de s’enregistrer à l’aéroport international Pearson de Toronto, M. Perea-Melendez raconte que la machine leur disait qu’il y avait une erreur avec leur réservation.
«Elle affichait un "d" de trop sur le nom de famille. Et c’est à ce moment que je me suis dit: "Oh, ça va nous poser problème"», se souvient-il.
Puisqu’il a acheté les billets d’avion via un site de revente et non directement avec une compagnie aérienne, WestJet et le site internet en question n’ont pas été en mesure de régler la situation à temps.
Dans un courriel envoyé à CTV News, un porte-parole de WestJet a répondu que «tous les billets achetés via un site de revente comme Expedia ne peuvent être modifiés par la compagnie aérienne».
«Le site web m’a dit qu’ils ne pouvaient pas faire de modifications à moins que ce ne soit 24 heures avant le vol», a ajouté M. Perea-Melendez.
La famille a dû débourser 6000$ de plus, car ils ont dû annuler leur vol initial afin d’acheter de nouveaux billets d’avion.
Bien qu’il estime que cette mésaventure est de sa faute, le père de cinq enfants estime qu’il devrait y avoir un moyen plus efficace pour régler ce genre de situation afin d’éviter de nombreux problèmes dans les aéroports.
«Il vaut mieux se dire qu’il s’agit d’un problème qui est hors de notre contrôle, passer à autre chose et continuer de sourire.»
Le mois dernier, l’homme affirme que lui et sa famille ont dormi devant le bureau de passeports de London, espérant être premiers en file lors de son ouverture. Une semaine auparavant, sa femme et lui avaient attendu sept longues heures, sans avoir eu de succès.
Crédit photo: CTV News