Passer au contenu principal
À voir:

Début du contenu principal.

International

L'espace aérien près de Washington est très particulier, rappelle un expert

Un expert en aviation estime que la collision en plein vol survenu mercredi soir à Washington est probablement dû à des circuits de circulation aérienne propres à cette région et ne devrait pas susciter de craintes plus générales. Un avion décolle de l'aéroport international de Vancouver à Richmond, en Colombie-Britannique, le lundi 13 mai 2019.
Un expert en aviation estime que la collision en plein vol survenu mercredi soir à Washington est probablement dû à des circuits de circulation aérienne propres à cette région et ne devrait pas susciter de craintes plus générales. Un avion décolle de l'aéroport international de Vancouver à Richmond, en Colombie-Britannique, le lundi 13 mai 2019.

Source

La Presse canadienne
La Presse canadienne

Un expert en aviation estime que la collision en plein vol survenue mercredi soir à Washington est probablement le résultat des circuits de circulation aérienne propres à ce secteur, et ne devrait pas susciter de craintes concernant la sécurité aérienne en général.

John Gradek, qui enseigne la gestion de l'aviation à l'Université McGill, affirme que l'aéroport national Ronald-Reagan de Washington possède probablement les pistes les plus fréquentées du pays, alors que volent aussi des avions militaires fréquemment dans ce secteur, ce qui en fait un espace aérien à risque plus élevé. 

La collision entre un avion régional d'American Airlines transportant 64 personnes et un hélicoptère de l'armée transportant trois militaires aurait coûté la vie à toutes les personnes à bord des deux appareils. 

On ne sait pas encore la cause de cette collision en plein vol, mais les autorités indiquent que l'avion effectuait un atterrissage de routine lorsque l'hélicoptère s'est retrouvé sur sa trajectoire. 

À VOIR | Écrasement d'avion de ligne à Washington: les échanges de la tour de contrôle

Selon M. Gradek, les contrôleurs aériens ont informé l'équipage de l'hélicoptère de la présence de l'avion de ligne et il assure qu'il aurait été de la responsabilité du pilote de l'hélicoptère d'éviter cet avion. 

Il soutient que même si l'on s'inquiète de la pénurie de contrôleurs aériens au Canada, les volumes de vols sont gérés de manière à ne jamais surcharger la tâche de ces employés. 

Source

La Presse canadienne
La Presse canadienne