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L'Américain Anthony Edwards vit les Jeux de Paris au maximum
Vedette en NBA avec les Timberwolves, l'Américain de 22 ans optimise son temps lors de sa première Olympiade.
Anthony Edwards vit au maximum les Jeux olympiques de Paris.
Vedette en NBA avec les Timberwolves, l'Américain de 22 ans optimise son temps lors de sa première Olympiade.
Il joue aux côtés de son idole Kevin Durant, il va voir du tennis de table et il ajoute à sa renommée sur le terrain. Contre Porto Rico, samedi, il a mené les siens avec 26 points.
«C'était incroyable de le voir aller», a dit Durant. «Ses tirs étaient si précis, et en plus il se rendait si facilement au panier. Il reste lui-même et il s'amuse. Il a enflammé la foule et notre club aussi.»
Edwards amène une bonne dose d'énergie, étant le plus jeune joueur d'une brigade où les plus gros noms ont tous au moins 35 ans (Durant, LeBron James et Stephen Curry).
Un exemple: son dunk de type moulin à vent après qu'un vol lui ait permis de filer seul, au dernier quart face à Porto Rico.
«On lui refile le ballon dès qu'on voit qu'il peut avoir une occasion», a dit Durant. «C'est le fun de jouer avec lui.»
Partager le terrain avec Durant et LeBron James est «tout ce que j'ai pu rêver», a dit Edwards.
«Ils sont les meilleures personnes», a t-il confié. «Ils ont l'équipe à coeur et ils veulent que tout le monde puisse briller. J'ai la même attitude, alors c'est super.»
À ces Jeux, Edwards peut aussi passer du bon temps en tant que partisan, lui qui aime beaucoup le ping-pong.
Lundi dernier, il est allé voir Lily Zhang, des États-Unis, l'emporter 4-2 devant Bruna Takahashi, du Brésil.
«Je joue en compagnie des meilleurs joueurs de tous les temps et j'ai la chance d'aller voir du tennis de table», a dit Edwards.
Côté basket, les Américains veulent éviter le genre de scénario de la Coupe du monde l'an dernier, où ils ont été battus pour le bronze par le Canada.
Les États-Unis seront confrontés au Brésil en quarts de finale, mardi (15h30).
«Ce sont les rondes éliminatoires et toutes les équipes sont très bonnes, a dit Edwards. Ça ne va pas être facile et c'est normal.»