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Le chef péquiste a également demandé à M. Legault «un retour précis» concernant chacune de ses demandes qui ont été mises sur la table.
«Tant qu’à se rencontrer, une fois qu’on a pris des photos, il faut que ça donne quelque chose», a-t-il soutenu en entrevue avec l’animatrice Marie-Christine Bergeron, au bulletin Noovo Le Fil 17.
PSPP rapporte qu’il était satisfait du climat de collaboration de la rencontre. La discussion a porté principalement sur cinq thèmes, soit le français, l’environnement, l’inflation, la santé et la gouvernance.
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Dans ses demandes, le chef péquiste dit s’être concentré sur «ce qui était le plus tangible» afin que celles-ci aient le plus de chance d’être reprises par le gouvernement. C’est notamment le cas de sa requête de rehausser le salaire minimum, de surtaxer les entreprises pétrolières, d’investir davantage en transport en commun et d’assurer la pérennité du français.
«On est mieux d’être en mode collaboration et d’essayer d’obtenir des compromis», a estimé PSPP.
En santé, il a bon espoir que sa demande de bonifier le financement de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont sera entendue. Le péquiste a également senti une ouverture du côté de la transparence nécessaire lors de la délivrance de contrats à des firmes privées, en faisant référence à l’affaire McKinsey.
«Sur d’autres sujets, comme la Loi 101 au cégep, ça fait huit fois que j’en débats avec M. Legault. Je ne pense pas que cette fois-là a été plus concluante. Mais on va continuer de travailler», a-t-il lancé.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.