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Les membres de l’UDA sont sans contrat de travail depuis février 2023 et ils ont décidé de faire pression sur l'Association québécoise de la production médiatique.
Des négociations intensives sont prévues au courant de la semaine prochaine, selon le syndicat et l'Association québécoise de la production médiatique (AQPM).
Selon la présidente de l’UDA, Tania Kontoyanni, il y a trois enjeux principaux qui achoppent présentement, dont l’intelligence artificielle, les droits de suite et la mise en disponibilité.
«Par exemple si je me fais garantir deux à trois jours de tournage, le producteur peut me demander de réserver plusieurs semaines jusqu’à ce qu’il puisse me dire quelles sont ces deux trois jours de tournage», explique Mme Kontoyanni en ajoutant que les artistes sont des travailleurs autonomes et qu’ils ne peuvent pas «s’enfermer et refuser des contrats pendant des mois pour deux ou trois jours de travail».
Voyez son entrevue intégrale dans la vidéo.