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Très colorée, la murale représente la diversité de la ville de Montréal et du quartier Ville-Marie, situé entre le Village et le Quartier latin. Elle est d’ailleurs si imposante qu’elle sera visible du pont Jacques-Cartier.
Françoise Sullivan est entre autres peintre et chorégraphe, mais elle est aussi l’une des signataires du manifeste Refus global. Elle fait partie également des membres fondateurs de l’automatisme — un mouvement avant-gardiste.
«C’est vraiment émouvant, c’est extraordinaire», a-t-elle dit en entrevue pour Noovo Info.
Les artistes muralistes ont dû travailler à 100 mètres de hauteur, un défi de taille.
«La hauteur et la particularité du bâtiment, ce sont des défis techniques avec lesquels on n’avait jamais vraiment travaillé auparavant», a mentionné le muraliste MSHL, ajoutant qu’ils s’en étaient bien sortie au final.
Voyez le reportage d'Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo.