Le président et chef de la direction du GP de Formule 1 du Canada, François Dumontier, assure que l’organisation est «très active avec les différents groupes et partenaires pour contrer ce phénomène», et ce, depuis 2017.
«Je sais qu’il y a une motion qui a été déposée à l’Assemblée nationale, on l’appuie sans réserve. On a des moyens d’avertir les gens sur le site que c’est un crime de solliciter des services sexuels», a lancé M. Dumontier sur les ondes de Noovo Info, lundi.
M. Dumontier s’est également penché sur l’énorme engouement en vue du Grand Prix, mais surtout sur la saison des travaux sur l’île de Montréal. En effet, les entraves sur les routes pourraient nuire à quelques spectateurs tentant d’accéder au site.
Le chef de la direction du GP répond que les responsables sont en communication constante avec les autorités montréalaises pour essayer de «minimiser les travaux» pendant l’évènement.
«Dans les prochains jours, il y aura un point de presse des autorités de la Ville à ce niveau, mais on essaie d’éviter le plus de travaux, surtout que beaucoup de touristes viennent. On essaie de leur faciliter la vie», a-t-il ajouté.
Un évènement pas comme les autres
Selon M. Dumontier, le Grand Prix du Canada a quelque chose de spécial comparativement aux autres courses de la F1, alors que les gradins sont remplis bien avant la course du dimanche.
«On est complet depuis plusieurs mois, a-t-il révélé. Il y a un engouement incroyable pour la F1 maintenant, alors il faut se prendre tôt pour l’an prochain.»