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Elle a plaidé coupable à des accusations d'abus de confiance, d'utilisation non autorisée d'un ordinateur et de complot.
Une étudiante en soins infirmiers a plaidé coupable d'avoir fabriqué de faux carnets de vaccination COVID-19, a annoncé jeudi l'Unité anticorruption du Québec.
Fatima-Zhoura Aini a admis avoir produit de faux codes QR pour 17 personnes en échange d'une rémunération entre le 29 mars 2021 et le 23 décembre 2021 alors qu'elle était étudiante en soins infirmiers et vaccinatrice au CISSS de Montérégie-Centre, sur la Rive-Sud de Montréal. Elle a bénéficié de l'aide d'au moins un complice pour produire les dossiers médicaux falsifiés.
Ce texte est une traduction d'un article de CTV News.
L'Unité permanente anticorruption (UPAC) a indiqué qu'elle avait plaidé coupable à des accusations d'abus de confiance, d'utilisation non autorisée d'un ordinateur et de complot. À la suite de son plaidoyer, elle a été condamnée à une peine avec sursis, qui comprend deux ans de probation et 120 heures de travaux d'intérêt général.
L'UPAC a indiqué dans un communiqué de presse qu'elle avait été arrêtée le 28 juin 2023, après que des fonctionnaires eurent été informés de ses agissements.
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En mai dernier, un autre ancien employé du centre de vaccination COVID-19 a plaidé coupable après avoir gagné 150 000 $ en aidant des centaines de Québécois à obtenir de faux passeports de vaccination(s'ouvre dans un nouvel onglet) au plus fort de la pandémie.
Adams Diwa, 24 ans, qui travaillait pour le CIUSSS de l'Est-de-l'île-de-Montréal, a plaidé coupable à des accusations de fraude, de falsification de documents et d'abus de confiance pour des infractions commises entre septembre et novembre 2021.