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«Ce que je dis aux jeunes du Québec, c’est ne laisser pas François Legault vous dire quoi penser. Ne laissez pas votre avenir dans les mains d’un politicien qui a une vision des années 1990. Allez voter le 3 octobre», a insisté Gabriel Nadeau-Dubois.
Les deux co-porte-paroles de Québec solidaire (QS), Gabriel Nadeau-Dubois et Manon Massé, ont encouragé les 18-39 ans, qui représenteront le tiers de l’électorat, à se prévaloir de leur droit de vote le 3 octobre prochain.
«Parfois, on se demande à quoi ça sert de voter, qu’est-ce que ça change. La réponse est simple: ça change tout. Quand les jeunes se mettent à voter, c’est tout le Québec qui avance», a lancé Gabriel Nadeau-Dubois, rappelant qu’il était possible d’aller voter sur les campus des cégeps et des universités.
Le co-porte-parole a indiqué que si la prochaine élection était celle «de la dernière chance pour les changements climatiques», qu’il ne fallait pas se décourager, mais plutôt se mobiliser. M. Nadeau-Dubois a ajouté que l’élection de 2022 était celle de la «génération climat».
DOSSIER | ÉLECTIONS 2022
Il invite donc les jeunes à voter pour la formation, qui souhaite «bâtir un avenir vert» et faire du Québec l’un des endroits les plus verts au monde.
«Quand c’est toujours les mêmes qui gagnent les élections, c’est normal de se sentir impuissant, mais on n’est pas condamnés à l’impuissance. C’est ça mon message aux jeunes du Québec. C’est possible de changer d’ère au Québec», a ajouté M. Nadeau-Dubois.
De son côté, Manon Massé a rappelé certains des engagements uniques à QS. Parmi ceux-ci figurent notamment l’accès à la contraception, l’accès aux produits d’hygiène menstruelle dans les écoles et différentes autorités locales et l’instauration d’une limite à la hausse du loyer à l’indice du Tribunal administratif du logement.
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Une politique de rémunération des stages étudiants serait aussi dans les cartons pour la formation solidaire. «C’est un investissement dans la réussite scolaire de nos jeunes et un investissement qui à long terme va payer, parce que les jeunes vont être intéressés à aller dans ces disciplines où les stages ne sont pas rémunérés», a souligné Manon Massé.
«Ce que je dis aux jeunes du Québec, c’est de ne pas laisser François Legault vous dire quoi penser. Ne laissez pas votre avenir dans les mains d’un politicien qui a une vision des années 1990. Allez voter le 3 octobre», a conclu Gabriel Nadeau-Dubois.