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Une autorisation sera demandée au ministère de l’Environnement.
Le programme de conservation de la biodiversité de l’école secondaire Jean-Raimbault de Drummondville est à faire caractériser les milieux humides de sa propriété. La Maison GARAF est située dans le secteur de Saint-Nicéphore.
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Des installations extérieures doivent être construites sur le terrain afin de permettre la formation à dans la nature. Les travaux d’aménagements de passerelles et de plateformes pour des iourtes sont prévus au cout de 345 000 $.
Une autorisation du ministère de l’Environnement est nécessaire avant de procéder aux chantiers. La présence de ces écosystèmes pourrait mener au retraçage des sentiers pour permettre les déplacements sur les parties terrestres et minimiser les impacts sur la nature.
Le travail de caractérisation est réalisé par la firme UDA Groupe Conseil. Cependant, les enseignants y ont vu une opportunité d’apprentissage pour leurs élèves.
Dans la journée du jeudi 18 mai, près d’une trentaine de finissants ont prêté mainforte dans l’analyse du sol et l’inventaire des plantes présentes sur le terrain à proximité de la décharge de Saint-Nicéphore. Une application mobile utilisant l’intelligence artificielle pour l’identification de la flore a d’ailleurs été testée pour l’occasion.
Cet outil pourrait bénéficier aux professionnels dans la réalisation d’autres contrats. L’aspect pédagogique pour les classes sera aussi évalué.
Si cette collaboration arrive à de bons résultats, cela pourrait mener vers une offre de services pour des projets similaires dans la communauté selon l’enseignant Pablo Desfossés.
La troisième phase de travaux prévus sur le lot de Saint-Nicéphore comprend l’ajout d’aménagements en aquaculture et d’aquaponie, qui consiste en la culture de végétaux avec l'élevage de poissons dans un environnement partagé.
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