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Les comités olympiques de la Suède, du Danemark, de la Finlande, de l'Islande et de la Norvège ont indiqué qu'ils veulent réitérer leur «front commun en faveur du peuple ukrainien et de la paix».
Cinq comités olympiques nationaux de la Scandinavie ont demandé mardi au Comité international olympique de priver les athlètes russes et biélorusses et leurs dirigeants «des épreuves sportives internationales» en raison de la guerre en Ukraine.
Les comités olympiques de la Suède, du Danemark, de la Finlande, de l'Islande et de la Norvège ont indiqué qu'ils veulent réitérer leur «front commun en faveur du peuple ukrainien et de la paix».
«Nous ne dérogerons pas de notre position, ont-ils mentionné dans un communiqué. Ce n'est pas le bon moment pour envisager leur réintégration.»
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La semaine dernière, les trois premiers ministres baltes ont exigé le maintien des sanctions contre les athlètes russes et biélorusses et brandi la menace d'un boycottage des prochains Jeux olympiques.
Ils se sont exprimés quelques jours après que le Comité olympique letton eut menacé de procéder au boycottage des Jeux de Paris en 2024 si les athlètes russes obtiennent la permission d'y participer, et ils ont demandé aux autres pays de former une coalition afin d'influencer les fédérations sportives internationales. Il s'agissait du premier comité olympique national, après celui de l'Ukraine, à menacer de procéder au boycottage des JO plutôt que d'affronter les athlètes russes.
D'autres comités olympiques nationaux, tels que ceux du Canada et des États-Unis, se sont dits «ouverts à explorer» un possible retour des athlètes russes et biélorusses en vue des prochains Jeux olympiques de Paris en 2024.