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Est-ce que la variole du singe a vraiment le potentiel d’atteindre des proportions épidémiques au Québec?
Les cas suspects de variole du singe dans la région de Montréal peuvent faire revivre de tristes souvenirs à certaines personnes, alors que la propagation de cette maladie rappelle les balbutiements de la pandémie de COVID-19.
Mais est-ce que la variole du singe a vraiment le potentiel d’atteindre des proportions épidémiques au Québec?
À voir dans la vidéo.
Même si on connait peu de choses sur la variole du singe, un tel scénario serait peu envisageable en raison de la différence entre les deux maladies, selon la microbiologiste et infectiologue au Centre de santé de l’Université McGill, Sapha Barkati.
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«Il y a vraiment une différence au niveau de la transmission quand on compare la COVID avec la variole du singe, a-t-elle expliqué, jeudi, au bulletin Noovo Le Fil 17.
Dre Barkati est revenue sur les propos de la Direction régionale de santé publique de Montréal (DRSP), qui a rappelé qu’il faut «un contact étroit et prolongé», soit des rapports sexuels, pour qu’il y ait des risques de transmission.
Consultez notre dossier pour tous les développements sur la variole du singe.
«On ne parle pas de situation où on va faire nos courses ou on prend un transport en commun.»
«Pour l’instant, je ne suis pas inquiète, je fais confiance à la santé publique et aux médecins qui reconnaissent maintenant plus les cas et il ne faut pas céder à la panique.»
Voyez les explications d'Emmanuel Leroux-Nega sur la variole du singe au bulletin Noovo Le Fil 17 animé par Noémi Mercier :