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Personne ne s’attendait à ce que le financement des partis politiques vole la vedette lors de la semaine de rentrée parlementaire à l’Assemblée nationale.
Personne ne s’attendait à ce que le financement des partis politiques vole la vedette lors de la semaine de rentrée parlementaire à l’Assemblée nationale.
Ce texte a été rédigé par l’équipe du pupitre numérique de Noovo Info.
Sans minimiser le scandale, «mais qu’est-ce tu as le temps de lobbyer dans un cocktail pour 100 dollars? Je pense que ce n’est pas grand-chose [...] On est vraiment dans le hockey mineur», a exprimé le collaborateur de Noovo Info et chroniqueur, Yves Boisvert, lors de son passage au bulletin Noovo Info 17.
Toutefois, il est en effet plutôt «vulgaire» de payer une telle somme simplement pour rencontrer un ministre.
Coincée dans la «controverse», la Coalition avenir Québec (CAQ) dit être ouverte à l’idée d’abolir le financement privé, une solution qui déplaît catégoriquement au collaborateur de Noovo Info.
Un système de financement public existe déjà au Québec dans lequel les partis reçoivent un montant reflétant le nombre de vote lors de la dernière élection.
«Oui, mais si tu démarres ton parti politique, tu fais quoi? Tu es inexistant en termes de statistiques», poursuit M. Boisvert.
Il est important pour les nouvelles formations de pouvoir aller chercher des fonds chez les personnes qui croient en leur cause.
Voyez l’analyse complète d’Yves Boisvert dans la vidéo liée à cet article.