«Ce que j’aime beaucoup, c’est le mode de vie qui vient avec ça», lance Olivia. Son conjoint David dit de son côté apprécier particulièrement l’évolution de ses bêtes. «Elles étaient super anxieuses, elles ne nous connaissaient pas. C’est ça que je trouve intéressant, d’être capable aujourd’hui de pouvoir les approcher, que les bêtes nous connaissent», exprime-t-il.
Les deux parents ajoutent apprécier le temps de qualité que ce nouveau rôle leur permet de passer avec leurs enfants. Une proximité de loin supérieure à leurs emplois plus conventionnels.
S’il encense la qualité de la viande et de la laine des yaks, le couple n’exclut pas de se lancer éventuellement dans l’agrotourisme. C’est d’ailleurs lors d’un voyage à l’étranger qu’ il a eu la piqûre pour ces bêtes.
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