Depuis, on pourrait dire que les candidats/tes potentiels sont nombreux à démontrer leur intérêt pour le poste.
Guillaume Rousseau, professeur à la Faculté de droit de l'Université du Québec, explique que le fait de laisser des noms flotter ou de laisser entendre qu'une personne est en réflexion, est chose courante en politique. «Souvent en politique, on va dire des ballons d'essai», ajoute-t-il.
«Les gens laissent leur nom flotter, pour voir un petit peu ce que l’on en pense. S’il y a de l’enthousiasme, la personne peut aller de l’avant et au contraire, si ça ne suscite pas beaucoup d’appui [sa candidature], la personne peut laisser tomber sans s’être trop mouillée», renchérit Guillaume Rousseau.
Plusieurs noms circulent déjà en ce qui concerne la succession à la mairie de Sherbrooke. Parmi les noms, on retrouve Raïs Kibonge, Pierre-Luc Dussault, Laure Letarte-Lavoie et Danielle Berthold.
Est-ce que la députée de Sherbrooke, Christine Labrie, pourrait quitter l’Assemblée nationale avant la fin de son mandat pour un retour en politique municipale?
«On est dans le très court terme en ce moment dans ce que je gère dans mes nouvelles fonctions. 2025 me semble très très loin», a-t-elle affirmé à Noovo Info.
Christine Labrie a récemment été nommée co-porte-parole par intérim de Québec solidaire aux côtés de Gabriel Nadeau-Dubois.
De son côté, le nouveau parti Vision action Sherbrooke n’a pas encore dévoilé de candidat officiel pour 2025.
Tous les détails dans la vidéo ci-contre.