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Celui qui occupe présentement les fonctions de PDG de la société d’État par intérim a révélé en entrevue qu’il n’y avait toutefois pas eu de discussion à ce sujet.
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«J’adore l’organisation. Je suis sorti de ma retraite en 2020 pour venir travailler chez Hydro-Québec et servir le Québec», a lancé M. Despars, qui a ajouté qu’il allait occuper les fonctions de PDG par intérim pour une durée indéterminée. «J’ai été très flatté que le conseil d’administration me demande de prendre l’intérim dans le cas où le remplaçant de Sophie ne serait pas nommé.»
M. Despars s’est penché sur les futurs défis que devra relever Hydro-Québec au cours des prochaines années, alors que la demande énergétique ne cesse d’augmenter dans la province.
Selon le PDG par intérim, Hydro-Québec devra trouver un moyen d’être en mesure «de bien répondre à cette augmentation de la demande, soit avec de nouveaux ouvrages ou avec des activités d’efficacité énergétique, pour permettre la croissance économique du Québec».
Alors que les syndicats disent se «préparer au pire» en vue des négociations concernant le renouvellement des conventions collectives couvrant 16 000 employés d’Hydro-Québec, M. Despars a voulu se faire rassurant.
Le public québécois vient d’être sensibilisé à l’importance de ces employés, avec la tempête de verglas qui à son pic a laissé 1,1 million de clients sans électricité. Les monteurs de ligne ont été particulièrement sollicités.
Les syndicats concernés n’ont pas voulu donner d’entrevue pour le moment, puisque la négociation n’en est qu’à ses balbutiements.
Voyez l'entrevue complète dans la vidéo.