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«C’est un peu le mi-chemin entre le camping et le chalet. L’avantage de cette formule-là est que les gens qui louent un camping n’ont qu’à apporter leurs vêtements, leur nourriture et leur sac de couchage. Pour ce qui est du reste, chaudron, vaisselle, réfrigérateur, le petit poêle pour cuisiner: tout est inclus dans cette formule», a expliqué Éric Lessard, directeur du parc national de Frontenac.
Avec une enveloppe de 7,1 millions de dollars du gouvernement du Québec, la Sépaq (Société des établissements de plein air du Québec) offrira 110 nouveaux sites de prêt-à-camper, dont plus d'une quarantaine en Estrie.
«Il y a un engouement pour le prêt-à-camper parce que ça rend l’expérience plus accessible pour les petites familles enter autres», a mentionné la ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air, Isabelle Charest.
Les campeurs pourront profiter des nouvelles unités de la fin du mois de mai jusqu’à la mi-octobre.
Cette expérience est intéressante notamment pour ceux qui veulent essayer le camping pour la première fois, souligne M. Lessard.
Voyez le reportage de Jean-François Poudrier ci-contre.