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Depuis 26 ans, l’entrepreneur québécois martèle que cette solution pourra mettre à la saga de la toiture du Stade olympique, qui date depuis avril 1987.
18 mois seraient nécessaires afin de réaliser le projet du nouveau toit, qui serait d’une longueur de 650 pieds et d’une largeur de 400 pieds, indique-t-il.
«On est directement sur le roc, donc on n’affectera pas la structure du stade. On l’allège, a soutenu M. Delaney lors d’un entretien avec Noovo Info, mardi. Le principe est bon pour tous les autres modèles de stade qui existent.»
Le mouvement du toit rétractable serait d’une vingtaine de minutes. «On ne peut pas aller trop vite étant donné qu’il y a une occupation interne sur quatre planchers», a expliqué l’entrepreneur.
De 2001 à 2021, différentes tentatives afin de trouver un nouveau concept de toit ont avorté.
Il est maintenant temps de passer de la parole à l’acte, lance Dinu Bumbaru, directeur des politiques chez Héritage Montréal.
«Si on ne fait qu’en parler et qu'on ne s’en occupe pas, la facture continuera de monter.»
La déclaration de lundi du premier ministre François Legault à l’endroit du «Big O» a suscité de nombreuses réactions. Le chef caquiste souhaite lui redonner ses lettres de noblesse, même s'il sait que l'opération sera coûteuse.
«Mon défi avec le Stade olympique, c’est qu’on passe d’un symbole négatif à un symbole positif», a-t-il expliqué, notant au passage que l'enceinte du stade et sa tour inclinée font partie des icônes qui font rayonner la métropole à l'international.
Voyez le reportage de Sabrina Rivet dans la vidéo.
Avec les informations de La Presse canadienne