Voyez, dans la vidéo ci-contre, trois bandes-annonces de certains des meilleurs longs-métrages de Jean-Marc Vallée, dont la mort survenue à son chalet près de Québec a été annoncée lundi.
Décès de Jean-Marc Vallée
C.R.A.Z.Y. (2005)
L’histoire de Zachary Beaulieu, jeune homme homosexuel grandissant dans une famille québécoise des années 1960 et 1970, a permis à Jean-Marc Vallée de se hisser dans les hautes sphères du cinéma, mais aussi à l’international où l’œuvre a fait rayonner l’art cinématographique québécois.
Mettant en vedette, entre autres, Marc-André Grondin, Michel Côté et Danielle Proulx, le drame a même été classé parmi les 10 meilleurs films canadiens de tous les temps par le Festival international du film de Toronto (TIFF).
Café de Flore (2011)
Ce drame explore les histoires du DJ montréalais Antoine (Kevin Parent) et de la mère monoparentale française Jacqueline (Vanessa Paradis), séparées dans le temps, mais dont les destins se croisent sous forme de réincarnation. Certes un peu moins acclamé que C.R.A.Z.Y., Café de Flore a néanmoins attiré les chaudes louanges de la critique. Le magazine Time a qualifié les performances de Paradis et d’Hélène Florent de «lumineuses», et le travail de Vallée comme une «marche dans les nuages d’un beau rêve.»
Dallas Buyers Club (2013)
À la sortie de Dallas Buyers Club, Jean-Marc Vallée gravitait déjà sur l’orbite des meilleurs réalisateurs et producteurs du milieu; ce drame biographique relatant l’histoire de Ron Woodroof (Matthew McConaughey), un patient séropositif aux États-Unis des 1980, l’a propulsé vers la stratosphère des grands de son époque.
Aidé des performances étincelantes de McConaughey et de Jared Leto, Dallas Buyers Club a généré 55,7 millions $ au box-office avec un budget de 5 millions $.