Passer au contenu principal

Début du contenu principal.

Santé

Les pompiers québécois ont du mal à faire reconnaître leurs cancers

Le Québec n'a reconnu que l'an dernier le cancer comme un risque professionnel élevé pour les pompiers.

La pompière de Vancouver Jenn Dawkins, montrée sur une photo à distribuer, a fait pression pour que le cancer du sein soit inclus dans la législation de la Colombie-Britannique en tant que maladie professionnelle présumée couverte par l'agence provinciale de santé et de sécurité pour les travailleurs. Trois ans plus tard, elle serait diagnostiquée avec la maladie qui tue le plus les pompiers.
La pompière de Vancouver Jenn Dawkins, montrée sur une photo à distribuer, a fait pression pour que le cancer du sein soit inclus dans la législation de la Colombie-Britannique en tant que maladie professionnelle présumée couverte par l'agence provinciale de santé et de sécurité pour les travailleurs. Trois ans plus tard, elle serait diagnostiquée avec la maladie qui tue le plus les pompiers.

Jenn Dawkins se souvient de ce jour de printemps 2016 où elle s'est jointe à quatre autres pompières, à l'Assemblée législative de la Colombie-Britannique, pour faire pression en faveur de l'inclusion du cancer du sein parmi les maladies professionnelles présumées couvertes par la commission de santé et de sécurité du travail de cette province.